▬ Age ; Vingt six ans et demi
▬ Activité/profession ; Photographe
▬ Qualités - défauts ; Gentil ; Drôle ; Posé ; Macho ; Jaloux ; Impulsif
▬ Hobbies ; La photographie ; Le football ; L'automobile
▬ Statut amoureux ; Célibataire et c'est compliqué
▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuel
▬ Groupe ; ♦ ROMEO, molto piacevoli
▬ Avatar ; Ashton Kutcher
▬ Crédit ; LJ

Je m'appelle Ginno Edouardo Andreotti, j'ai vingt six ans, j'en aurais vingt sept dans deux mois et je suis photographe, laisser moi vous racontés mon histoire.

Je suis né à Rome, oui, vous ne rêvez pas, je suis bien né dans l'une des plus belle villes du monde et c'est ici que j'ai tout mes amis. Je suis un peu l'enfant du quartier, tout le monde m'a vu grandir et puis mon père qui était fier d'avoir eu un garçon pour la descendance ne s'était pas privé de me montré à tous le monde. Petit, j'étais plutôt calme, je ne causais pas trop de soucis à mes parents qui ne faisaient pas non plus très attention à moi, ben non, ils étaient débordés et entre mon père mon devait voyagé pour ces affaires et ma mère qui devait aussi voyagé pour ces défilés de mode, moi je restait souvent seul à la maison avec une nourrisse. Ma nounou s'appelait Maria DaSilva, elle était Portugaise et très gentille avec moi, parfois elle me faisait mangé des choses que je n'aimait pas, mais elle me disait que sa faisait grandir et que grâce à sa je serait fort alors je mangeais tout et j'en redemandais. On peut dire que cette femme savait y faire avec les enfants et aussi avec mon père puisque parfois je le voyais lui donner une claque sur les fesses, je pensais que c'était parce qu'elle avait fait une bêtise, tout comme moi quand papa me donnait des claques sur les fesses, mais je ne sais pas pourquoi Maria souriait quand il lui faisait sa. Quand j'ai grandis, j'avais compris la signification de ces claques, mon père et ma mère avaient rompus pour sa, ils n'avaient pas décidés de divorcés, mais juste de prendre un peu de temps pour eux et bien sûr, comme j'étais encore jeune, c'est maman qui a eu le droit de m'avoir. Honnêtement, maman ou papa, je ne savais pas qui choisir, si, peut-être Maria comme c'est elle qui m'a élevé, mais après ce qu'elle a fait avec mon papa, je ne l'ai plus revu, sa devait être grave.

Ginno - Maman ? Pourquoi papa n'est plus à la maison et elle est ou Maria ?
Catherina - Ton papa n'est plus là parce qu'il a fait de vilaine chose avec Maria.
Ginno - Il a fais quoi avec Maria ?
Catherina - Il a confondu Maria avec maman, voilà ce qu'il a fait ! Maintenant mange tes légumes ou tu n'auras pas de dessert.

Je ne trouvais pas sa grave de confondre une personne avec une autre, mais je ne savais pas de quoi je parlais donc je mangeais mes légumes pour avoir une glace au chocolat, on ferait n'importe quoi pour sa. Parlons scolarité maintenant, surement l'une des étapes les plus durs de ma tendre enfance. Je n'aimais pas l'école et je le clamais haut et fort en frappant des points sur ma table quand ma mère voulait me faire réviser ma table de multiplication. Je détestais les maths, le français, l'histoire-géographie, toutes les matières, sauf le sport ou j'avais une moyenne qui n'allait pas en dessous de dix huit. Je n'aimais rien, mais je n'étais pas mauvais pour autant, j'avais la moyenne partout et je pouvais faire mieux, mais j'en avais pas envie. Faut pas se voilé la face, si j'y allais c'était pour voir mes copains de classe, sinon, je m'en serais très bien passé, mais c'est obligatoire. Je voulais faire du sport, je voulais faire du foot avec mes amis et être dans le même club qu'eux, je voulais taper dans le ballon, mettre des buts et qu'on me porte sur les épaules, mais ma mère ne voulait pas ! pas de problème, j'ai été voir mon père qui lui était ravis que je lui demande sa et m'a fournis la panoplie du parfait petit footballer. Encore une chose que ma mère n'avait pas accepté, mais c'était trop tard maintenant.

Au fil des années, j'avais bien grandis. Je fréquentais toujours les mêmes amis que j'avais en primaire, le collège avait été une étape pas plus importante que sa pour moi, si ce n'est avec les filles. Faut dire que je n'avais pas vraiment eu beaucoup de succès, et oui, l'adolescence fait des ravages. La petites moustaches hideuse qui pousse, des boutons d'acnés sur le visage et sur le dos pour les moins chanceux, la voix qui mue et les hormones en ébullitions, voilà à quoi se résume la vie d'une adolescent, rien de bien charmant n'est-ce pas ? Heureusement que ça ne dure qu'un temps. J'ai vécus sa de la sixième à la quatrième, les filles ne m'aimaient pas, elles me rejetaient, je n'étais pas très attirant à leurs gouts et pourtant ... Pendant les grandes vacances scolaires, celles qui se trouvait entre la quatrième et la troisième, j'avais complètement changé. Je n'avais plus aucun bouton sur le visage, la petite moustache n'existait plus et avait laisser place à une toute petite barbe qui ne poussait plus aussi vite que sa, mon corps frêle avait laisser place à une musculature quelques peu développé et ma voix était celle d'un homme dans toute sa virilité. J'en ai fais des coeurs brisés, la vengeance est un plat qui se mange froid, n'est-ce pas ? le mien était bien congelé. Oui, les filles étaient attirés par moi comme les abeilles par le miel et je ne pouvais pas m'empêcher de mettre des vents aux filles qui m'en avait mis, sauf à une fille qui m'avait vraiment fait mal, elle je suis juste sortit avec pour la mettre dans mon lit et basta, on en parle plus.

Iliana - Pourquoi tu ne me rappelle plus ?
Ginno - Parce que j'en ai pas envie.
Iliana - En fait tu voulais juste un plan cul, c'est sa ?
Ginno - Exactement ! Et j'ai été très déçu, c'est pas demain la veille que je recommencerais avec toi.

Ça fais mal hein ? Oui, ce n'est pas très sympa de ma part, mais elle m'a fait fait souffrir aussi, chacun son tour, la roue tourne. Au lycée, c'était une tout autre affaire, aucune situation stable, je voulais profité de ma jeunesse et je ne voulais pas me casé avec une fille qui aurait gâchée mon plan. Je voulais des relations qui ne dure pas, mais toujours des relations protégés, je ne voulais pas être le pire d'une dizaine de gosses. Avec mes parents, rien n'allait, ils voulaient que je fasse du droit et moi je voulais faire de la photo, mais ils s'en fichaient, ils disaient que la photo n'était pas un métier d'avenir alors qu'avocat, si ! Si mentir pour acquitter un violeur d'enfants est l'avenir, je me marre. La photographie n'était pas un métier d'avenir et je le sais, mais c'était une passion pour moi. Mes parents ne comprenaient jamais qu'à chaque noël je demandais le dernier appareil photo qui venait de sortir. Oui, j'en avais une belle collection, tout une étagère pour vous dires et ça valait beaucoup d'argent. Je n'avais pas eu d'autres choix que de faire ce qu'ils m'avaient demandé. Au lycée, c'est là aussi que j'ai eu quelques petits problème avec la drogue, mais rien de grave, je n'étais pas un toxicomane qui vendait mes appareils photos pour ma dope, mais c'est vrai que j'en ai déjà pris, plusieurs fois et que j'ai fais une grosse bêtise en allant dedans. Je ne sais pas pourquoi j'ai fais sa, j'étais peut-être en manque d'action, mais maintenant que j'y suis sortit, je ne recommencerais plus. A l'université, tout allait pour le mieux, j'avais dix huit ans et je suivais des études de droits que je détestait au plus haut point. Je passais ma licence et j'en avais ras le bol, donc j'ai décidé de faire croire à mes parents que je n'ai pas été admis pour qu'ils me lâches avec sa, seulement je ne savais pas que ça allait avoir une si grande ampleur. Mon père et ma mère qui ont été très déçus par sa, ont décidés de me mettre à la porte alors que j'allais sur mes vingt et un an. J'avais donc fait mes valises et je suis partit du domicile parental pour m'installer ailleurs. Je faisais des petits boulots pour payé mon logement et dès que j'ai eu l'occasion de travaillé sérieusement, je l'avais fais. J'avais commencé par un petit job dans un journal ou je devais prendre des photos de monument et des choses comme ça, rien de passionnant, mais si les photos étaient bien prises et si elles plaisaient au rédacteur, je pouvais me faire beaucoup d'argent, enfin plus que je le pensais du moins. Ensuite j'ai commencé à travaillé dans d'autre journal beaucoup plus renommé et beaucoup mieux payé, j'ai pus quitté mon petit logement pourri pour me prendre un logement beaucoup plus grand et mieux situé dans la ville. C'est aussi dans ce journal que j'ai trouvé ma première petite copine sur qui j'ai tout de suite flashé. On était tellement bien ensemble, elle a emménagée chez moi et tout se passait bien, mais les disputes se faisaient trop souvent, on se quittait et on se remettait ensemble et ainsi de suite. Maintenant je n'en peu plus, je ne peux plus vivre comme ça, d'ailleurs elle ne vis plus chez moi, elle a un logement et on se voit de temps en temps. Je compte aussi changer de travail pour me mettre à mon compte et faire des photos de pub, puis pourquoi pas photographe professionnel pour mannequin amateur ou pro, ça rapporte pas mal sa aussi. Je suis toujours en mauvais terme avec mon père, mais avec ma mère ça va beaucoup mieux.

Catherina - Je suis contente de te parlé, ça serait bien que tu nous donnes de tes nouvelles un peu plus souvent.
Ginno - Oui, je sais maman, je le ferais. Est-ce que papa m'en veux toujours ?
Catherina - Mais non voyons, ton père ne t'en veux pas du tout, tu viens à la maison quand tu veux.
Ginno - C'est ...
Catherina - Je dois te laisser, ton père est arrivé, viens nous voir quand tu peux, bisous mon bébé.

Oui, ma mère me mentait, elle faisait tout pour que mon père et moi faisons la paix, mais je ne pense pas que ça arrivera, pas pour l'instant en tout cas. Cela fais maintenant plusieurs jours que je suis comme obnubilé par une fille. Je l'ai prise en photo par mégarde et depuis, je n'arrête pas de pensé à elle. Je sais juste qu'elle est serveuse dans un café et qu'elle se prénomme Lissi. C'est une femme magnifique, qui me plais beaucoup, non, je ne suis pas amoureux, je suis juste charmé par ces sourires, je ne pense pas qu'elle sait qu'elle m'attire, elle ne joue pas avec moi, elle est simple, naturelle et souriante, tout ce que j'aime. Je ne sais pas ce que ça peut donner, mais j'aimerais bien faire sa connaissance, juste pour être ami et après on verra bien si y-a une suite ou pas.