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« Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel

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AuteurMessage
L. Adriel Castellano
L. Adriel Castellano

ADMIN ♧ mais vous pouvez aussi m'appeler Dieu.

Mes Messages : 601
Mon Arrivée : 19/07/2010
Mon Prénom : Cécile
Mon Âge : 31



sara perché ti amo.
♣ Âge du Perso: 26 ans ½
♣ Je: suis un célèbre écrivain, auteur de nombreux best sellers
♣ Carnet d'Adresses:

« Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel Vide
MessageSujet: « Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel « Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel EmptyLun 26 Juil - 20:53



castellano, leandro adriel

    FEAT. ED WESTWICK


▬ Age ; 26 ans
▬ Activité/profession ; Écrivain à succès, auteur de nombreux best-sellers
▬ Qualités - défauts ; Gentleman - Manipulateur - Franc – Sarcastique – Intelligent – Profiteur – Fier
▬ Hobbies ; Travailler, sortir, voir du monde, passer du temps avec sa famille, boire, etc.
▬ Statut amoureux ; Célibataire
▬ Orientation sexuelle ; Hétérosexuel
▬ Groupe ; Romeo, molto piacevoli
▬ Avatar ; Ed Westwick
▬ Crédit ; © LAORA





Questionario

    Si il y a bien une chose que tu ne dois absolument pas savoir sur moi, c’est que je dors toujours avec mon doudou. Oui, je dors encore avec mon doudou et tu sais quoi ? J’en ai pas honte… Et toi, t’as un secret ? De toute façon, t’es obligé de me le dire car tu ne voudrais pas que je pleure, hein ?
    ♦ Ta réponse : J'ai pas de secret :) Il suffit de lire les premières pages de mes livres, là où se trouve ma biographie pour tout savoir de moi. Je n'ai aucun secret.

    Quand j'étais petit je rêvais d'être astronaute, après j'ai compris que c'était pas trop possible donc j'ai décidé de devenir médecin. Mais comme je suis trop con je fais facteur. Bon sinon je continue toujours de jouer à euro million parce qu'avouons le, j'aimerais bien ne plus avoir à bosser du tout. Et toi, quelles ont été les ambitions de ta vie et tes projets d'avenir ? Tu suis quelle étude ou tu bosse dans quoi ? Dis moi tout, je suis friand de ragots.
    ♦ Ta réponse : Je suis né dans une famille de joailliers. Le bracelet CS à ton poignet, c'est un Castellano i Salinas, en gros c'est mes parents qui l'ont dessiné. J'étais destiné à faire la même chose de ma vie et de devenir millionnaire grâce à mon talent. C'est arrivé d'ailleurs. Mais j'ai vite été lassé et mon premier amour, la littérature, a pris le dessus. J'ai écrit mon premier roman et ce fut un best seller. C'est ce que je fais aujourd'hui. En parallèle je suis aussi consultant au commissariat de Rome. Je ne sais pas comment j'ai atterri là bas, mais ça me plait.

    Tu sais quoi ? J’ai jamais autant aimer une personne que je l’aime lui. Il est tout simplement parfait, charismatique et super riche. Tu ne vois pas de qui je parle ? Ben de moi idiot. Si je pouvais me marier avec moi-même, je l’aurais fait depuis belle lurette, et ici même à Rome. Car tu sais quoi ? L'amour c'est LE sentiment que j'aime le plus haut monde, et ca tu ne me le fera pas changer d'avis. Et toi, avec qui veux-tu passer le reste de ta vie, pour le meilleur et pour le pire, et avoir ton happy end ? L'amour, c'est quoi pour toi ? Un défilé de filles différentes dans ton lit ou rêver de voir ton âme sœur dans une belle robe blanche ? Et n’oublie pas de me dire, quel est la ville la plus romantique pour toi * ne t’inquiète pas, je ne te piquerais pas ta ville, j’ai déjà la mienne *.
    ♦ Ta réponse : Lisez mon histoire vous saurez tout.




a viso aperto chi sono ?
▬ Prénom/Pseudo ; Cécile ; C.
▬ Âge ; 17 ans
▬ Où avez vous connu le forum ; Question idiote ^^
▬ Remarques ;
▬ Niveau d'activité et RP ; Vous verrez bien.
▬ Code du règlement ; Et toi, Invité ?




© Tous droits réservés.
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Dernière édition par L. Adriel Castellano le Lun 30 Aoû - 2:36, édité 16 fois
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« Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel Vide
MessageSujet: Re: « Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel « Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel EmptyLun 26 Juil - 20:58


BIOGRAPHIE


Pour ce nouveau roman, mon éditeur a insisté pour inclure une biographie. Elle devait être confiée à un mec inconnu de tous qui passe sa vie à écrire celle des autres. Je parle rarement de mon passé et de moi même, mais quitte à ce que vous sachiez tous mes moindres secrets, autant que ça vienne de moi directement. Vous êtes prêts pour toute la vérité sur L. Adriel Castellano ?

Comme on peut le lire sur mon extrait de naissance, je suis né le 3 décembre 1983 à Barcelone, la capitale Catalane. Mais je me plais à l'appeler « La plus belle ville du monde » parce que c'est ce qu'elle est à mes yeux. Lorsque j'ai décidé de faire mon entrée dans le monde réel, on m'a donné le nom de Leandro Adriel Castellano i Salinas. (Vous comprenez pourquoi je l'ai raccourci maintenant peut être ?) Mais oui, pour ceux qui ne l'avait pas encore compris, je suis espagnol pure souche. Mes deux parents sont nés à Barcelone, y ont vécu toute leur vie, et y vivent encore à l'heure actuelle. En parlant d'eux, je suis sûr que vous les connaissez. Pas en tant que « parents de... » mais en tant que « Ah bah tiens, c'est le nom qu'il y a sur la boîte que j'ai eu lors de mes achats chez le bijoutier. ». Quelle coïncidence n'est ce pas ? Vous l'aurez compris, mes parents sont les célèbres joailliers « Castellano i Salinas ». Comment j'ai fini écrivain avec une telle ascendance me direz vous ? Cette histoire viendra plus tard, je ne voudrais pas gâcher le suspens sur ma vie aussi tôt. La vérité c'est que je suis moi même joaillier. Enfin c'est ce que mon curriculum vitae dit parce que j'ai fait les études qui le prouve. Qu'est ce qu'on ferait pas pour faire plaisir à papa maman... J'étais promis à reprendre l'empire familiale, et j'aimais ça. Le maniement de ces matières si nobles, la création à partir de presque rien. C'était passionnant. Et j'étais surtout très doué. Mais ma véritable passion c'était la littérature, l'écriture, la mise sur papier de mon imagination débordante. Malgré ça mes origines restaient présentent dans mon cœur et mon esprit. Sans oublier l'avantage non négligeable d'une telle vie : l'argent. J'étais millionnaire à l'époque. D'accord, je le suis toujours. Mais maintenant je le dois à moi même. Quel fut le déclic qui me fit écrire voire même publier mon premier roman alors ? Ah ça vous intéresse ça !


page 1



Comme dans toutes les bonnes histoires, ça commence avec une femme. Et pas n'importe quelle femme. J'avais vingt et un ans à l'époque, je faisais encore mes études lorsque je la rencontra. C'était lors d'un mariage d'un ami commun. Cette dernière était venue tout droit d'Italie et plus précisément de Rome pour l'occasion. On pourrait considérer cette rencontre comme un coup de foudre. Je sais, c'est niais, mais que voulez vous ; on choisit pas. C'était peut être à cause de l'ambiance romantique de la cérémonie, ou encore des litres de champagne que j'avais bu à ce moment là, mais j'avais vu en cette jeune femme ma future épouse. Oui, j'étais déjà très ambitieux. Il faut dire que depuis toujours je suis habitué à avoir tout ce que je désire, femmes comprises. Durant cette période je m'étais déjà mis à l'écriture. Seulement, je n'arrivais jamais à finir un roman. J'avais des bouts, des extraits, des moitiés, des résumés, etc. Bref, tout sauf un version définitive susceptible de plaire à quelqu'un un jour. Pourtant, après cette soirée que je pourrais considérer comme magique, l'encre a coulé à flot. J'avais écrit mon premier vrai roman dans les jours qui suivirent. Mon premier best-seller, celui qui me permis de faire comprendre à mes parents que je n'étais pas destiné au même métier qu'eux, et qu'ils devraient trouver quelqu'un d'autre pour perpétrer notre nom. Bizarrement, j'eus droit à une petite sœur quelques mois plus tard. Mon histoire d'amour est digne d'un conte de fée n'est ce pas ? Je rencontre une femme, on passe une soirée ensemble, on échange des mots, des paroles, on tombe amoureux, j'écris un livre grâce à elle. La suite logique c'est le mariage, non ? Ça aurait pu. Si seulement je n'avais pas écrit non stop après notre rencontre. Au moment où j'avais immergé de ma transe d'écrivain, elle était partie et avait retrouvé sa ville natale : Rome. Certains seraient restés dans leur coin à ruminer les erreurs passés et auraient fini par avancer dans la vie. Pas moi. J'avais décidé qu'elle serait mon épouse dès le premier regard, je n'allais pas abandonné aussi rapidement. C'est ainsi que je partis pour Rome, avec un simple nom en tête. Celui de ma future femme.


page 2



Pendant que mon livre était en cours d'édition, je débarquais dans un pays quasi inconnu. J'avais voyagé en Italie, j'en parlais la langue grâce aux cours donnés par mes parents depuis mon enfance, mais je ne connaissais personne là bas. Enfin à part la femme que j'étais venue chercher. Ce fut sans la moindre difficulté que je la trouva. Surement une aide divine. J'avais le souvenir d'un café dont elle m'avait parlé lors du mariage, la Tazza d'Oro. Un endroit charmant situé en face du parc de la Villa Glori. La seule réelle difficulté fut à l'époque de trouver l'endroit. J'avais du demandé à une dizaine de passants avant de trouver cet havre de paix. J'allais donc chaque jour dans ce café, attendant patiemment que la femme de mes rêves viennent s'y désaltérer. Par chance, il ne fallut attendre que deux jours. J'y vois encore une aide divine. Elle était là, assise à la table en face de moi, commandant un café crème. Elle n'avait pas changé. Son visage s'illumina probablement autant que le mien quand elle me vit arriver près d'elle. C'est ainsi qu'une véritable relation se créa, à la table d'un petit café. Les années ont passé et aucune ombre ne se profilait. Nous nous mariâmes même à Rome, lieux où j'avais décidé de m'installer pour rester aux côtés de ma muse. Car en effet, le premier roman que j'avais publié était resté numéro un des ventes pendant de nombreuses semaines, ainsi que tous les autres qui suivirent. Chacun d'entre eux m'étaient inspiré de ma femme, elle était donc véritablement devenue ma muse. Je faisais mon possible pour retourner de temps en temps à Barcelone, la ville qui m'avait vu grandir et où toute ma famille se trouvait : mes parents et ma nouvelle petite sœur promise à un bel avenir dans la joaillerie. Mais j'avais fini par m'attacher à Rome, la ville de l'amour. C'est beau tout ce que je raconte n'est ce pas ? Pourtant, j'ai le sentiment que vous êtes largués. Qu'est ce qui me fait dire ça ? Oh, peut être le fait que maintenant j'ai la réputation à travers le monde entier d'être le nouveau Dom Juan. Le célibataire endurci qui ne fait que passer ses nuits à draguer toutes les jolies femmes de Rome et à les mettre dans son lit. Des explications s'imposent je crois.

page 3



On venait à peine de se marier, nous avions tous les deux vingt quatre ans. On était beaux, jeunes, riches, amoureux. On avait tout pour être heureux pour le restant de nos jours. Mais comme vous le savez, rien n'est jamais aussi simple dans la vie. J'ai découvert que la mariage n'était pas une institution pour moi. Quelques semaines après le mariage, j'ai commencé à m'ennuyer de la routine quotidienne. Je me lassais de voir ma femme tous les jours, de n'aimer qu'elle, de ne plus regarder les autres demoiselles à ma portée. D'autant plus que la tentation en tant qu'auteur le plus médiatisé du moment était très grande. Vous ne pouvez même pas vous imaginer le nombre de filles qui peuvent débarquer devant votre porte, nue, vous suppliant de coucher avec elle. À l'époque, je faisais tout pour rester fidèle avec de telles tentations autour de moi. Forcément, la jalousie se fit sentir chez ma femme. Je ne pouvais hélas pas lui en vouloir. Mais le pire dans l'histoire c'était surtout que j'étais en panne d'inspiration. J'étais incapable d'aligner trois mots pour faire une phrase relativement agréable à lire, et aucune histoire intéressante ne me venait. La panne de l'écrivain. C'était bien elle. Bien sûr, c'est ma femme qui se sentit fautive « Tu n'écris plus depuis qu'on est mariés. C'est ma faute. […] Si tu me quittais pour une de ces groupies à poil ça irait mieux. » et bla bla bla. Je supportais ce genre de réplique à toute heure du jour et de la nuit. C'était devenu ingérable. On ne supporta la situation tout deux que six mois. Seulement six mois après notre mariage, nous avons divorcé. Allez savoir pourquoi j'ai décidé de rester à Rome plutôt que de retourner dans la ville que j'avais quittée pour mon ex femme. Je m'étais surement accrochée depuis le temps. Depuis j'ai emménagé sur la Piazza di Spagna – très étonnant n'est ce pas ? Vous pouvez m'y trouver à n'importe quelle heure, le plus souvent dans les clubs ou les bars du coin. Depuis cette déception amoureuse j'ai découvert, ou plutôt redécouvert, les joies du célibat. C'est merveilleux de pouvoir passer d'une fille à une autre sans devoir rendre de compte à personne. Et le meilleur dans tout ça, c'est que depuis maintenant deux ans que je vis cette vie là, je n'ai jamais autant été inspiré. Mes livres se vendent comme des petits pains, j'ai élargi mon style de lecteur et tout le monde connait mon nom et mon visage. Pour une fois que la littérature sait se faire une place dans les médias actuels, on ne va pas s'en plaindre. Voilà qui je suis. Voilà mon histoire. Je ne suis qu'un homme né dans un milieu très riche mais qui a su se faire un nom par lui même. Qui a vécu une histoire d'amour hors du commun et hors du temps, mais qui s'est mal finie. Aujourd'hui je vis de mon art et je profite de ma popularité autour des femmes pour ne plus avoir à revivre les mêmes choses. Mais même si j'avais le choix, je déciderais de revivre ma vie de la même manière que je l'ai déjà vécu. Je vis sur le principe qu'il faut apprendre de ses fautes, qu'elles nous serviront toutes pour avancer dans la vie. On commet rarement deux fois les mêmes erreurs. Sauf si on est vraiment cons. Ce que je suis peut être après tout...


page 4



Vous êtes encore loin de savoir toute la vérité sur moi. Mais comme dit le dicton, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Il y a certaines choses que vous ne saurez sur moi que si vous venez à ma rencontre dans Rome et que nous devenons amis – ou plus si affinités. En attendant, je vous invite à lire ce nouveau roman. Peut être que vous retrouverez un peu de moi dans mes personnages et dans leurs expériences. Voilà, vous savez que tout n'est pas pure imagination. Quelle déception ! Finalement, je vais peut être laisser un mec inconnu écrire ma biographie. Il n'aura qu'à raconter ce qu'il veut. En fait j'ai dit que des conneries. J'ai jamais été marié, je suis pas espagnol, et je suis même pas écrivain ! Quoi ? Trop tard ? Dommage.

L. Adriel Castellano.


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« Il y a avait un rêve qui s'appelait Rome. » ♧ Adriel

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